Cette maison coloniale, construite en 1750, s’ouvre sur beau portail, avec un petit patio où trône une fontaine ; au dessus, des balcons en bois finement sculptés sont suspendus. On peut apercevoir la cellule où fut emprisonnée puis exécutée l’une des héroïnes de l’indépendance péruvienne, Maria Parado de Bellido.